L’ensorceleuse
Une jeune femme blessée par un amour impossible décide, dans une nuit de vengeance tragique et envoûtante, de priver l’homme qu’elle aime de toute autre femme, quitte à tout brûler, même l’éternité.

Dans l’Attente de savourer sa besogne d’ensorceleuse, à la De la Renta, une jeune femme se préparait, une nuit, pour son Centième dossier, lequel, bien orchestré, visait à rendre fou un homme qu’elle aimait bien. Mais, par sa situation de Vouloir sans Pouvoir, elle décida qu’aucune femme, puisqu’elle ne pouvait l’avoir, ne devait l’avoir non plus.
Comme un avion, à minuit, À flyer, jusque dans la maison de celui qu’elle avait, jusqu’à cette nuit-là, considéré comme son Seul Amour. Mais se sentant Disqualifiée, elle fut désormais plus que persuadée de lâcher sa Bombe. Son cœur était, à cet instant-là, Sans Amour.
Pour les représailles, qu’elle en souffre ou pas, même pour l’Eternité, ce n’était plus son problème, tant que l’espoir d’une Alliance n’existait plus. La page était tournée. C’était maintenant comme à la Guerre.
Chaque nuit, elle le trouvait seul. Mais ce soir-là, madame entra et tomba sur une multitude. Et, comme les sorciers de chez nous, madame était sans Liputa. Se retrouvant prise au piège, l’ensorceleuse fut célébrée, que même lorsqu’elle cria Mayday…, dans les environs, le monde comprit et prit ses lamentations pour un code d’Amour, lequel traduisait le septième ciel de l’Orgasy…
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